mercredi 19 novembre 2014

Tes deux pieds



Das Glück begreifen, daß der Boden, auf dem du stehst, nicht größer sein kann, als die zwei Füße ihn bedecken.

Franz Kafka,  [Aphorismen], Betrachtungen über Sünde, Leid, Hoffnung und den wahren Weg.

Le bonheur, c’est de comprendre que la place que tu occupes ne peut être plus grande que ce que peuvent recouvrir tes deux pieds.

Aphorismes, 24, traduit de l’allemand par Guy Fillion, Joseph K, 2011.

Comprendre la chance que le sol sur lequel tu te tiens ne peut être plus large que les deux pieds qui le couvrent.

Journal intime, suivi de Esquisses d’une autobiographie, Considérations sur le péché, Méditations, traduit de l’allemand par Pierre Klossowski, Grasset, 1945.

Saisir cette chance que le sol où tu te tiens ne peut être plus grand que ne couvrent tes deux pieds.

Réflexions sur le péché, la souffrance, l’espérance et le vrai chemin, traduit de l’allemand par Bernard Pautrat, Rivages, 2001.