samedi 1 février 2014

Pour un temps triste et confidentiel on ne pouvait pas mieux désirer que le temps qu’il faisait dehors. On aurait dit tellement il était vilain le temps, et d’une façon si froide, si insistante, qu’on ne reverrait jamais plus le reste du monde en sortant, qu’il aurait fondu le monde, dégoûté.

Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, Denoël & Steele, 1932.