mercredi 31 décembre 2008

N’espérons pas, mais attendons

Il ne faut désespérer de rien. Il y a trois ans, l’an 1849, à minuit, je pensais à la Chine et l’an 1850, à minuit, j’étais sur le Nil. - C’était sur la route, c’était un à peu près, c’était autre chose enfin. - Qui sait ? N’espérons pas, mais attendons.

Gustave Flaubert, lettre à Louise Colet, 31 décembre 1851.