vendredi 27 janvier 2017

En fin de compte, personne ne peut entendre dans les choses, y compris dans les livres, plus qu’il ne sait déjà. Ce à quoi on n’a pas accès par l’expérience vécue, on n’a pas d’oreilles pour l’entendre.

Friedrich Nietzsche, « Pourquoi j’écris de si bons libres », Ecce homo. Comment on devient ce qu’on est, traduit de l’allemand par Éric Blondel, Œuvres, Flammarion, 1992.