L’Alphabet est public, et chacun est le maître de s’en servir pour créer une parole, et la faire devenir son propre nom.
Jacques [Giacomo] Casanova de Seingalt, Histoire de ma vie, tome second, chapitre IX, folio 123r.
Il est plus aisé de dire des choses nouvelles que de concilier celles qui ont déjà été dites (Vauvenargues). Avec cette plume donc il poursuit l’inventaire de ce qui ne lui reste plus à dire (Pinget). Il est simplement dommage que nous n’ayons pas commencé plus tôt : nous y serions déjà (Schopenhauer).
L’Alphabet est public, et chacun est le maître de s’en servir pour créer une parole, et la faire devenir son propre nom.
Jacques [Giacomo] Casanova de Seingalt, Histoire de ma vie, tome second, chapitre IX, folio 123r.
Libellés : alphabet, Giacomo Casanova, nom