Être à Venise, c’est croire que l’on est à Venise. Rêver de Venise, c’est être à Venise
Ramón Gómez de la Serna, Greguerías, traduit de l’espagnol par
Jean-François Cacelen et Georges Tyras, éditions Cent pages, 2005.
Il est plus aisé de dire des choses nouvelles que de concilier celles qui ont déjà été dites (Vauvenargues). Avec cette plume donc il poursuit l’inventaire de ce qui ne lui reste plus à dire (Pinget). Il est simplement dommage que nous n’ayons pas commencé plus tôt : nous y serions déjà (Schopenhauer).
Être à Venise, c’est croire que l’on est à Venise. Rêver de Venise, c’est être à Venise
Ramón Gómez de la Serna, Greguerías, traduit de l’espagnol par
Jean-François Cacelen et Georges Tyras, éditions Cent pages, 2005.
Libellés : Ramón Gómez de la Serna, rêve, Venise