Il est plus aisé de dire des choses nouvelles que de concilier celles qui ont déjà été dites (Vauvenargues). Avec cette plume donc il poursuit l’inventaire de ce qui ne lui reste plus à dire (Pinget). Il est simplement dommage que nous n’ayons pas commencé plus tôt : nous y serions déjà (Schopenhauer).
– Est-ce qu’il faut rajeunir le monde ou le regard ?
- Les deux, tiens !
Christian Dotremont, 1973.
Encre de Chine et mine graphite sur papier, 42 x 59 cm. Paris, Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, cabinet d’art graphique. Don de Pierre et Micky Alechinsky, 2011
Libellés : Christian Dotremont, jeunesse, monde, regard