Il est plus aisé de dire des choses nouvelles que de concilier celles qui ont déjà été dites (Vauvenargues). Avec cette plume donc il poursuit l’inventaire de ce qui ne lui reste plus à dire (Pinget). Il est simplement dommage que nous n’ayons pas commencé plus tôt : nous y serions déjà (Schopenhauer).
Quelque chose manque au paysage. C'est un oeil joyeux.
Robert Pinget, Taches d'encre, éditions de Minuit, 1997.
Photo : Nacho Lopez
Estragon. — Fous-moi la paix avec tes paysages ! Parle-moi du sous-sol !
Libellés : joie, paysage, Robert Pinget, Samuel Beckett, sous-sol