lundi 31 juillet 2006

Tout passera, tout passera !



Pas lents et bercements, paroles dispersées, nuques qui se détournent pour saisir un propos galant, gorges penchées pour se dérober ou s’offrir, visages inclinées et rieurs (…), tout passera, tout passera ! Comme une société apparaît et disparaît vite sous les arbres centenaires qui mourront eux-mêmes un jour.

Élie Faure, Histoire de l’art, 1919-21.