lundi 10 mars 2014

Fumer, pour nous

Fumer, pour nous, c’était avant tout donner un peu de consistance à la lumière. Nous rêvions de moyens analogues qui nous auraient rendu la musique moins contestable, et moins vague le regard de ceux d’entre nous que l’amour semblait troubler.

Roland Dubillard, « Les Campements », Olga ma vache, Gallimard, 1974.