Fumer, pour nous
Fumer, pour nous, c’était avant tout donner un peu de consistance à la lumière. Nous rêvions de moyens analogues qui nous auraient rendu la musique moins contestable, et moins vague le regard de ceux d’entre nous que l’amour semblait troubler.
Roland Dubillard, « Les Campements », Olga ma vache, Gallimard, 1974.