Il lit Pétrarque
Il lit Pétrarque : « Il y a, dit-on, plusieurs genres de mélancolie. Les uns jettent des pierres, les autres écrivent des livres. Écrire pour celui-ci est le commencement de la folie, pour celui-là, c’en est la fin. »
Il est plus aisé de dire des choses nouvelles que de concilier celles qui ont déjà été dites (Vauvenargues). Avec cette plume donc il poursuit l’inventaire de ce qui ne lui reste plus à dire (Pinget). Il est simplement dommage que nous n’ayons pas commencé plus tôt : nous y serions déjà (Schopenhauer).
Il lit Pétrarque : « Il y a, dit-on, plusieurs genres de mélancolie. Les uns jettent des pierres, les autres écrivent des livres. Écrire pour celui-ci est le commencement de la folie, pour celui-là, c’en est la fin. »
Libellés : écriture, folie, François Pétrarque, mélancolie, Samuel Beckett