jeudi 24 mars 2011
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Il est plus aisé de dire des choses nouvelles que de concilier celles qui ont déjà été dites (Vauvenargues). Avec cette plume donc il poursuit l’inventaire de ce qui ne lui reste plus à dire (Pinget). Il est simplement dommage que nous n’ayons pas commencé plus tôt : nous y serions déjà (Schopenhauer).
On n’arrête pas le progrès. Il s’arrête de lui-même. Il possède un déclic interne qui le stoppe automatiquement au moment où ce serait trop beau.
Alexandre Vialatte, chronique de La Montagne, 19 décembre 1961.
Libellés : Alexandre Vialatte, progrès